Si le zeste est utilisé en cuisine, pour rajouter un soupçon d'acidité au plat ce Zeste là va rajouter à coup sur, du peps dans votre cuisine!
De jolies découvertes culinaires, des focus produits afin de vous sentir moins bêtes devant les étals de vos commerçants, des recettes pétillantes et originales ! Bref, tout ce qu'il faut pour faire le plein de bonnes choses à la rentrée!
3,90 euros dans tous les bons kiosques
Gossip'Food in Paris
Un blog de recettes, potins, adresses, produits...tout sur ce qui touche à la cuisine à Paris et ailleurs...
vendredi 13 septembre 2013
mercredi 11 septembre 2013
Foire aux vins 2013
Comme tous les ans, la rentrée rime avec "Foire aux vins". Si ces foires sont l'occasion d'acheter parfois des vins à moindre prix elles permettent aussi de faire de belles découvertes!
Chez Carrefour, ne passez pas à côté du Hautes-Côtes de nuits Blanc 2012, Bernard Loiseau d' Albert Bichot (8,95 euros).
Nez d'agrumes, frais, légèrement minéral.
Un gros coup de coeur pour le Maury hors d'âge de Dauvergne Ranvier Parcé (9,95 euros).
Magnifique robe rubis, fruits confits, note de fruits rouges et de vanille.
Et parce qu'il n'y a pas que la France, un Tokay venu tout droit de Hongrie! Tokaji Aszu 2003, 3 Puttonyos du Château impérial Tokaj (8,95 euros).
Nez de miel, arômes de fruits secs, grande fraîcheur.
Dans les Magasins U, vous pourrez trouver un bel Auxey-Duresses du Domaine des Hoz 2011 à 14,95 euros.
Nez délicat presque poudré, grande fraîcheur en bouche.
Un Crozes-Hermitage 2011 de la Maison Chapoutier à 9,95 euros.
Belle palette aromatique, équilibré.
Ou encore un Corbières 2012 du Domaine de Castelmaure en magnum (1,5 l) à 7,50 euros.
Structuré, long en bouche.
Ceci n'est pas une liste exhaustive, à vous également de trouver votre bonheur...
Chez Carrefour, ne passez pas à côté du Hautes-Côtes de nuits Blanc 2012, Bernard Loiseau d' Albert Bichot (8,95 euros).
Nez d'agrumes, frais, légèrement minéral.
Un gros coup de coeur pour le Maury hors d'âge de Dauvergne Ranvier Parcé (9,95 euros).
Magnifique robe rubis, fruits confits, note de fruits rouges et de vanille.
Et parce qu'il n'y a pas que la France, un Tokay venu tout droit de Hongrie! Tokaji Aszu 2003, 3 Puttonyos du Château impérial Tokaj (8,95 euros).
Nez de miel, arômes de fruits secs, grande fraîcheur.
Dans les Magasins U, vous pourrez trouver un bel Auxey-Duresses du Domaine des Hoz 2011 à 14,95 euros.
Nez délicat presque poudré, grande fraîcheur en bouche.
Un Crozes-Hermitage 2011 de la Maison Chapoutier à 9,95 euros.
Belle palette aromatique, équilibré.
Ou encore un Corbières 2012 du Domaine de Castelmaure en magnum (1,5 l) à 7,50 euros.
Structuré, long en bouche.
Ceci n'est pas une liste exhaustive, à vous également de trouver votre bonheur...
lundi 9 septembre 2013
Tous au restaurant... c'est parti! Les réservations sont ouvertes!
Tous au Restaurant revient pour une quatrième édition du 16 au 22 Septembre 2013!
Ouverture des réservations le 9 septembre
De beaux produits, de belles tables, du partage et de belles rencontres, ce sont les promesses de Tous au restaurant qui se déroulera du 16 au 22 septembre prochain. En valorisant la spécificité de chaque région, en mettant en avant ses hommes et ses femmes passionnés, Tous au Restaurant permet au plus grand nombre de découvrir les tables de France qui incarnent les valeurs et le savoir-faire de la gastronomie française.
LE PRINCIPE : Pour une semaine, " Votre invité est notre invité"dans près de 1000 restaurants en France
DATES CLÉES : du lundi 16 au dimanche 22 septembre 2013 - Réservation à partir du lundi 9 septembre 10H
OÙ : partout en France
COMMENT : réservation à partir de lundi 9 septembre 10H sur le site tousaurestaurant.com
RESTAURANTS PARTICIPANTS : près de 1 000 restaurant répartis partout en France dont notamment
* Restaurant 39 V // Frédéric Vardon // Paris
* Les Tablettes // Jean-Louis Nomicos // Paris
* Le Bistro des saveurs // Thierry Schwartz // Obernai
* Le Gabriel // François Adamski // Bordeaux
* Le Clément Marot // Clément Marot // Lille
* Py'r // Pierre Lambinon // Toulouse
* L'Epuisette // Guillaume Sourrieu // L'Epuisette // Marseille
* L’Auberge du Pont d’Acigné // Sylvain Guillemot // Le Pont d’Acigné
* Lecoq Gadby // Julien Lamrié // Rennes
* Maison Pic // Anne Sophie Pic // Valence
* Restaurant Michel Chabran // Michel Chabran // Pont d'Isère
* Louis XV / Alain Ducasse // Monaco
* Frédéric Simonin // Frédéric Simonin // Paris
* Lasserre // Christophe Morin // Paris
* Le Moulin de Mougin // Sebastien Chambru
* ...
*
La liste complète des restaurants sur tousaurestaurant.com
NOUVEAUTÉS 2013 : des nouveautés ponctuerons également cette nouvelle édition avec notamment au sein de nombreux restaurants :
* un menu et des animations spécifiques proposées aux enfants pour la journée du mercredi (le marché de l'Almat avec Frédéric Vardon, la cuisine avec Anne Sophie Pic, des plats spécifiques dans de nombreux établissements etc...)
* des animations et des rencontres avec des producteurs locaux. De nombreux chefs inviteront leur producteur à venir à la rencontre des convives pour leur faire découvrir ceux qui, chaque jour, proposent les meilleurs produits de la terre et de la mer
Ouverture des réservations le 9 septembre
De beaux produits, de belles tables, du partage et de belles rencontres, ce sont les promesses de Tous au restaurant qui se déroulera du 16 au 22 septembre prochain. En valorisant la spécificité de chaque région, en mettant en avant ses hommes et ses femmes passionnés, Tous au Restaurant permet au plus grand nombre de découvrir les tables de France qui incarnent les valeurs et le savoir-faire de la gastronomie française.
LE PRINCIPE : Pour une semaine, " Votre invité est notre invité"dans près de 1000 restaurants en France
DATES CLÉES : du lundi 16 au dimanche 22 septembre 2013 - Réservation à partir du lundi 9 septembre 10H
OÙ : partout en France
COMMENT : réservation à partir de lundi 9 septembre 10H sur le site tousaurestaurant.com
mardi 5 mars 2013
Le Rachamankha, Chiang Mai - Thailande
A première vue, un peu austère, cet hôtel est un véritable havre paix au coeur de Chiang Mai.
Son architecture lanna vous donnerait presque l'impression d'être dans un temple. De beaux volumes, du bois de teck, des antiquités pas de doute le mot raffinement prend tout son sens ici.
Au coeur de la vieille ville, il règne un calme presque monastique entre ces murs alors que deux rues plus loin, les klaxons des tuk-tuks retentissent.
Le restaurant est un des meilleurs de la ville (pensée émue pour la salade de coriandre).
Bref, si vous cherchez une adresse qui allie charme et raffinement, vous serez conquis.
Le Rachamankha - Chiang Mai
Son architecture lanna vous donnerait presque l'impression d'être dans un temple. De beaux volumes, du bois de teck, des antiquités pas de doute le mot raffinement prend tout son sens ici.
Au coeur de la vieille ville, il règne un calme presque monastique entre ces murs alors que deux rues plus loin, les klaxons des tuk-tuks retentissent.
Le restaurant est un des meilleurs de la ville (pensée émue pour la salade de coriandre).
Bref, si vous cherchez une adresse qui allie charme et raffinement, vous serez conquis.
Le Rachamankha - Chiang Mai
jeudi 14 février 2013
Un melon en hiver
Depuis mars 2012, le melon de Guadeloupe bénéficie d'une indication géographique protégée (IPG). Cultivé en plein champ de novembre à juin et récolté à la main, sa chair est très parfumée. Choisissez des melons lourds car gorgés de sucre, à l'écorce légèrement brillante.
Quelques idées:
- En smoothie : Mixez un melon avec 3 cm de gingembre et une cuillère à soupe de glace pilée. Ajoutez des feuilles de menthe au moment de le servir.
- En soupe d'été: Mixez un melon avec 12 cl de muscat (ou de vin doux) et servez ces soupes bien fraîches en apéritif.
- En tartine: Faites revenir les tranches de melon dans un poêle bien chaude quelques minutes afin qu'il caramélise et servez le sur des tartines grillées accompagnées de chèvre frais et de quelques feuilles de basilic.
- En salade: Melon, mozzarella (ou feta) et tomates cerises, c'est un trio parfait pour salade d'été.
- En gelée: Faites cuire 1 kg de melon et 300 g de sucre. Au bout de 20 minutes ajoutez une cuillère à café d'agar-agar et faites cuire le tout 3 minutes (le mélange doit bouillir). Mixez et mettez dans des bocaux.
Quelques idées:
- En smoothie : Mixez un melon avec 3 cm de gingembre et une cuillère à soupe de glace pilée. Ajoutez des feuilles de menthe au moment de le servir.
- En soupe d'été: Mixez un melon avec 12 cl de muscat (ou de vin doux) et servez ces soupes bien fraîches en apéritif.
- En tartine: Faites revenir les tranches de melon dans un poêle bien chaude quelques minutes afin qu'il caramélise et servez le sur des tartines grillées accompagnées de chèvre frais et de quelques feuilles de basilic.
- En salade: Melon, mozzarella (ou feta) et tomates cerises, c'est un trio parfait pour salade d'été.
- En gelée: Faites cuire 1 kg de melon et 300 g de sucre. Au bout de 20 minutes ajoutez une cuillère à café d'agar-agar et faites cuire le tout 3 minutes (le mélange doit bouillir). Mixez et mettez dans des bocaux.
mercredi 30 janvier 2013
Le pamplemousse de Floride, profitez-en c'est la saison!
Bel agrume à la chair rosée et sucrée, il est présent sur les étals et vous aidera à faire le plein de vitamines A et B5 (ce qui en plein hiver n'est pas négligeable).
Choisissez le lourd de préférence, ferme et veillez à ce que sa peau ne soit pas tachée.
En jus ou en smootie, il sera parfait le matin. Il est délicieux dans une salade crevette et gingembre par exemple.
Servez le avec un foie gras poêlé, vous serez surpris ou encore dans un osso-bucco! Pour changer des tarte au citron, remplacez ce dernier par du pamplemousse...
crédit photo: I love pamplemousse
Choisissez le lourd de préférence, ferme et veillez à ce que sa peau ne soit pas tachée.
En jus ou en smootie, il sera parfait le matin. Il est délicieux dans une salade crevette et gingembre par exemple.
Servez le avec un foie gras poêlé, vous serez surpris ou encore dans un osso-bucco! Pour changer des tarte au citron, remplacez ce dernier par du pamplemousse...
crédit photo: I love pamplemousse
lundi 21 janvier 2013
Faire un CAP ?
Ces derniers temps, je reçois pas mal de questions concernant le CAP, la formation à l’Ecole Ferrandi etc… et j’essaie tant bien que mal d’y répondre objectivement. Ce billet s’adresse à toutes ces personnes et j’espère qu’il pourra les éclairer (un peu) !
Attention, il n'est pas fait pour décourager mais simplement pour montrer un peu l'envers du décor et permettre d'être pleinement conscient de ce que représente au quotidien ce type de formation. Tout d’abord, il faut être conscient que cuisiner chez soi et cuisiner dans une cuisine professionnelle ce n’est pas vraiment la même chose. Tout est plus grand, plus chaud et aussi plus lourd… le cuivre vide, c’est lourd mais avec trois litres de bouillon ça devient l’horreur. Ensuite, on cuisine tous les jours et pas forcément ce qu’on aime.
Le but du CAP est de former les élèves aux bases des la cuisine française comme les taillages (merci mes doigts), les cuissons (merci les brûlures) et les sauces. Aucune cuisine exotique ni même moderne n’est abordée (bio ou légère je ne vous en parle même pas !), aucune entorse ou créativité n'est permise… Si vous n’êtes pas vraiment fan des truites gluantes à vider à 8h du matin, de la chantilly à monter à la main ou encore des sauces un peu lourdes, je vous conseille de vous abstenir. De même, dites adieu à votre manucure et cachez vos mains sous la table lors de vos dîners en ville (même si c’est mal élevé) car elles pourraient en terrifier plus d’un. Oubliez les pantalons seyants, les chaussures sympas et les brushings et investissez dans de lourds souliers et un charmant couvre-chef (c’est obligatoire)… Si vous ne trouvez pas ça suffisant, il reste le tablier et le torchon pour vous épaissir un peu la taille et vous faire une silhouette gracieuse. Les recettes du référentiel datent (un peu) ! Regardez le Maincent et vous comprendrez …. On réalise encore des œufs frits, de la sauce Mornay ou encore de la macédoine de légumes… Je vous fais grâce le l’entremet façon Singapour qui est un must en son genre ! Une horreur de génoise à trois couches dont l’inévitable crème au beure, de la crème, du sucre ….(pour info, j'ai cherché en vain des photos sur le web et n'en ai pas trouvé tellement c'est has been)! Il faut aussi signaler que dans les formations « adulte », il y a de tout… des jeunes, des moins jeunes, des vieux… des français, des étrangers… Bref, un mélange très intéressant sur le papier mais qui au quotidien n’est pas toujours facile à gérer.
La formation comprend également des cours théoriques d’hygiène, de technologies, de vie pratique qui sont obligatoires, coûteux et franchement pas passionnants. Le niveau des participants étant totalement hétérogènes, tout est vraiment survolé. Vouloir faire ce type de formation pour le « fun » et sans projet précis est à mon sens une aberration et ne sert strictement à rien.
De plus, il faut bien garder à l’esprit que la restauration est un métier merveilleux certes mais assez ingrat et qu’il est strictement impossible de monter un restaurant juste avec une formation telle qu’un CAP. Ah, j’oubliais, si vous êtes une fille, c’est encore plus dur… Je ne sais pas pourquoi mais on part avec un handicap, je sais c’est rétrograde mais c’est comme ça ! Si après ça, vous êtes toujours motivé, sachez que Ferrandi est une formation réputée sérieuse, que les professeurs sont plutôt sympas et patients, que les cuisines ne sont pas vétustes et bien équipées.
Personnellement, outre les petits désagréments signalés au dessus, j’ai été plutôt contente de l’enseignement proposé en cuisine (bien qu’il aurait pu être soit plus court, soit plus approfondi). J’ai été en revanche extrêmement déçue de la formation théorique, qui m’a pris du temps et qui ne m’a rien apporté. En bref, c’est une bonne formation dont le prix est trop élevé.
ps: cet article a été publié il y a quelques années mais il me paraissait aujourd'hui d'actualité.
Retrouvez moi à 18 heures afin de parler de tout ça!
Attention, il n'est pas fait pour décourager mais simplement pour montrer un peu l'envers du décor et permettre d'être pleinement conscient de ce que représente au quotidien ce type de formation. Tout d’abord, il faut être conscient que cuisiner chez soi et cuisiner dans une cuisine professionnelle ce n’est pas vraiment la même chose. Tout est plus grand, plus chaud et aussi plus lourd… le cuivre vide, c’est lourd mais avec trois litres de bouillon ça devient l’horreur. Ensuite, on cuisine tous les jours et pas forcément ce qu’on aime.
Le but du CAP est de former les élèves aux bases des la cuisine française comme les taillages (merci mes doigts), les cuissons (merci les brûlures) et les sauces. Aucune cuisine exotique ni même moderne n’est abordée (bio ou légère je ne vous en parle même pas !), aucune entorse ou créativité n'est permise… Si vous n’êtes pas vraiment fan des truites gluantes à vider à 8h du matin, de la chantilly à monter à la main ou encore des sauces un peu lourdes, je vous conseille de vous abstenir. De même, dites adieu à votre manucure et cachez vos mains sous la table lors de vos dîners en ville (même si c’est mal élevé) car elles pourraient en terrifier plus d’un. Oubliez les pantalons seyants, les chaussures sympas et les brushings et investissez dans de lourds souliers et un charmant couvre-chef (c’est obligatoire)… Si vous ne trouvez pas ça suffisant, il reste le tablier et le torchon pour vous épaissir un peu la taille et vous faire une silhouette gracieuse. Les recettes du référentiel datent (un peu) ! Regardez le Maincent et vous comprendrez …. On réalise encore des œufs frits, de la sauce Mornay ou encore de la macédoine de légumes… Je vous fais grâce le l’entremet façon Singapour qui est un must en son genre ! Une horreur de génoise à trois couches dont l’inévitable crème au beure, de la crème, du sucre ….(pour info, j'ai cherché en vain des photos sur le web et n'en ai pas trouvé tellement c'est has been)! Il faut aussi signaler que dans les formations « adulte », il y a de tout… des jeunes, des moins jeunes, des vieux… des français, des étrangers… Bref, un mélange très intéressant sur le papier mais qui au quotidien n’est pas toujours facile à gérer.
La formation comprend également des cours théoriques d’hygiène, de technologies, de vie pratique qui sont obligatoires, coûteux et franchement pas passionnants. Le niveau des participants étant totalement hétérogènes, tout est vraiment survolé. Vouloir faire ce type de formation pour le « fun » et sans projet précis est à mon sens une aberration et ne sert strictement à rien.
De plus, il faut bien garder à l’esprit que la restauration est un métier merveilleux certes mais assez ingrat et qu’il est strictement impossible de monter un restaurant juste avec une formation telle qu’un CAP. Ah, j’oubliais, si vous êtes une fille, c’est encore plus dur… Je ne sais pas pourquoi mais on part avec un handicap, je sais c’est rétrograde mais c’est comme ça ! Si après ça, vous êtes toujours motivé, sachez que Ferrandi est une formation réputée sérieuse, que les professeurs sont plutôt sympas et patients, que les cuisines ne sont pas vétustes et bien équipées.
Personnellement, outre les petits désagréments signalés au dessus, j’ai été plutôt contente de l’enseignement proposé en cuisine (bien qu’il aurait pu être soit plus court, soit plus approfondi). J’ai été en revanche extrêmement déçue de la formation théorique, qui m’a pris du temps et qui ne m’a rien apporté. En bref, c’est une bonne formation dont le prix est trop élevé.
ps: cet article a été publié il y a quelques années mais il me paraissait aujourd'hui d'actualité.
Retrouvez moi à 18 heures afin de parler de tout ça!
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